Le confinement a été difficile à vivre pour Anne Roumanoff. Dès le début du confinement, l’humoriste a décidé de mettre sa notoriété au service des soignants. Pour ce faire, la jeune femme a décidé de travailler main dans la main avec l’association Solidarité qui est venue en aide aux soignants lors de la crise sanitaire. Le 7 mai 2020, la chroniqueuse radio avait confié au Parisien comment elle s’était retrouvée à l’initiative de cette belle action.
« J’ai lancé un appel sur Facebook et on s’est retrouvé avec 361 lots avec une mise à prix symbolique de 1 euro. On a récolté 227 000 euros et en un mois, on en est à plus de 300 000 euros. On a aidé plus de 200 établissements », a-t-elle confié.
Ver esta publicación en Instagram
Fière d’apporter sa pierre à l’édifice, Anne Roumanoff n’avait pas caché pour autant qu’elle avait été lessivée de s’être autant investie. « Ici tout le monde se défonce et j’ai même frôlé plusieurs fois le burn-out. Je me suis retrouvée en larmes de fatigue, d’émotion. C’est très difficile de décrocher, il y a tellement de détresse, de demandes », avait-elle confié à nos confrères du Parisien, le 7 mai 2020. Sur le plateau de Quotidien, l’humoriste est d’ailleurs revenue sur cette sombre période.
Anne Roumanoff en plein burn-out, ses confidences chocs
Interrogée au sujet de l’absence de scène pendant la pandémie de la Covid-19, Anne Roumanoff a confié avoir été très « occupée » par l’association dont elle avait la charge. « Beaucoup d’artistes étaient très dépressifs de ne pas être sur scène, et en fait, moi j’étais à la radio tous les jours et j’ai créé une association, donc j’étais très occupée. Et pendant la première période, j’étais presque en burn-out, parce que l’associatif, c’est très dévorant », a-t-elle fait savoir.
Ver esta publicación en Instagram
Celle qui fait son grand retour sur scène avec sa pièce Tout va bien, s’est même demandée si elle voulait un jour remonter sur scène. « Quand j’ai repris les spectacles il y a un an, ça ne m’avait tellement pas manqué la scène, que je me suis dit : ‘peut-être que je n’aime plus ça, peut-être que j’ai envie de faire autre chose dans ma vie' », a-t-elle continué. Et de nuancer : « Dès que je suis remontée sur scène, j’ai vu que j’aimais ça, encore plus qu’avant ». Nous voilà soulagés.